Un ex-espion russe empoisonné au Royaume Uni
Un jour du mois de mars, un communiqué de la part de la Grande Bretagne par l’intermédiaire de son Premier Ministre a accusé la Russie d’être responsable d’un attentat à la vie d’un ex-agent russe et de sa fille. Un délai a également été sommé par la Grande Bretagne à la Russie de formuler une explication en ce qui concerne la prohibition des armes chimiques. Il est à noter que cette déclaration est survenue huit jours après l’empoisonnement d’un ex agent russe sur le territoire anglais. Un incident qui s’est produit dans un quartier du sud de l’Angleterre à Salisbury le jour du 4 mars.
Le fondement de l’accusation de l’Angleterre
Avant toute chose, il est essentiel de savoir qu’une enquête a été ouverte sur le cas de l’ex-agent russe par la police scientifique anglaise. Ce qui a donné raison à la dénonciation de Madame le Premier Ministre. Les résultats ont en effet déclaré la présence d’une matière chimique qui a été utilisée pour l’empoisonnement de l’ex-agent russe. La matière chimique en question comportant des composants de même nature ayant été mis au point par des agents Novitchok dans les années 70-80. Autant dire que les faits ont mené à la conclusion de madame Theresa May. Soit une œuvre direct de la Russie si ce n’est un manque de contrôle de la substance.
La réponse de Moscou
N’étant pas d’accord sur les faits, la Russie a cependant tenu à répondre aux déclarations de l’Etat anglais par un diplomate qualifié russe. La théorie d’un attentat terroriste non anticipé ou tout simplement d’une mise en scène a été évoquée par ce dernier. Ce qui a poussé la Russie à nier toute implication dans cette affaire d’empoisonnement d’ex-agent russe. L’incident a également été qualifié par la Russie comme étant une mauvaise qualité de sécurisation. Cette déclaration faite par Vladimir Ermakov sur l’affaire de l’ex-agent russe a été effectuée lors d’une assemblée en compagnie de diplomate étranger.
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